Critiques du 4ème film sélectionné

AU REVOIR LÀ HAUT


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Ousmane - 1 PROELEC
Ousmane - 1 PROELEC

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Au revoir là-haut est un film français de 2017, une comédie dramatique réalisée par Albert Dupontel avec comme acteurs principaux Albert Dupontel dans le rôle de Albert Maillard, Nahuel Pérez Biscayart dans le rôle d'Edouard Péricout, Laurent Lafitte est le Lieutenant Pradelle , Niels Arestrup est Marcel Péricourt , Émilie Dequenne joue le rôle de Madeleine Péricourt et Mélanie Thierry incarne Pauline.Au revoir là-haut raconte l'histoire d'Edouard Péricourt et Albert Maillard qui sont des survivants de la première guerre mondiale au cours de laquelle Edouard sauve Albert qui se faisait ensevelir par des gravats. Mais en le sauvant il est heurté par des éclats d'obus qui le défigurent en lui arrachant la mâchoire et la langue ce qui l'empêche ensuite de pouvoir communiquer correctement.

Suite à cette blessure, Edouard est hospitalisé et Albert lui tient compagnie tout au long de son hospitalisation. Edouard souffre tellement de son énormae blessure qui lui a emporté la moitié du visage, qu'Albert vole de la morphine pour apaiser sa douleur.

Rétabli, Edouard ne voulant pas de greffe du visage demande à Albert de le tuer car il ne veut pas rentrer chez lui et affronter son père qu'il craint et déteste pour son autorité et qui n'a jamais accepté que son fils fasse des dessins pour lesquels il était de toute évidence doué depuis son enfance. Albert va donc faire « mourir » Edouard en allant aux archives insérer son dossier à la place d'Eugene Rivière, lui, réellement mort. Ils vont dès lors utiliser le talent de dessinateur d'Edouard pour monter une arnaque : ils se font payer d'avance la réalisation de monuments aux morts commandés par des communues prêtes à acheter au prix fort de tels monuments rendant hommages aux morts de la guerre à partir d'illustrations de stelles commémoratives. Leur idée est de vendre l'idée mais de ne jamais réaliser le monument.

Edouard et Albert vivent alors dans une vielle maison où une petite voisine parvient à « traduire » tout ce qu'Edouard grommelle. Elle deviendra leur complice. Mais la famille d'Édouard, le père et la sœur, cherchent à en savoir plus sur les conditions de sa mort. Apprenant qu'Albert l'a bien connu sur le champ de bataille, ils le contactent pour qu'il les amène sur la tombe d'Edouard. Ils souhaitent voir le corps...

J'ai trouvé ce film très passionnant , le choix des acteurs est judicieux, ils jouent tous très bien leur rôle et ils arrivent à nous faire vivre l'histoire. On peut voir dans ce film les conditions dans lesquelles vivaient les blessés de guerre, les différences de conditions de vie entre les gens riches et pauvres, la mentalité. Un peu trop long à mon gout car il dure quand même 2 heures, mais je recommande ce film car il est excellent.

Benjamin, LP Montel Colomiers.

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Mahamed - 1 PROELEC
Mahamed - 1 PROELEC

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Au revoir là-haut est un film français de genre comédie dramatique d'Albert Dupontel sorti en octobre 2017. Le film dure 1 heure 57 minutes, il est ouvert à tout public du fait qu'il est très simple à comprendre avec un humour très appréciable. Les acteurs principaux sont Nahuel Perez Biscayart,Albert Dupontel, Laurent Lafitte.

Nominé Festival du Film Francophone d'Angoulême 2017

Nominé Lumières de la presse étrangère 2018

Ce film retrace la vie de deux rescapés des tranchées, un avec une « gueule cassée » qui possède un talent de dessinateur incroyable, ce qui va l'aider dans son futur. L'autre n'a pas de blessure physique de la guerre et passe son temps à s'occuper de son ami à la gueule cassée et d'une petite fille qui vit avec eux.

Tous les trois réussissent à s'en sortir en arnaquant des gens, volant, profitant du système d'après-guerre.

L'environnement et les costumes portés par les acteurs sont tout à fait à l'image de l'époque, habits plus ou moins sales, moyens de transport de l'époque..

Les plans de caméras sont filmés de façon originale : par exemple, lorsque le blessé montre son visage défiguré à la fille en pleurant, la première image le montre avec une larme à l'œil. La seconde montre la petite fille le regardant droit dans les yeux, puis la dernière image est le moment où la fille touche ce visage avec stupéfaction sans même prendre peur. C'est après cette scène que toute l'histoire commence,

J'ai trouvé ce film très intéressant, très à mon goût. L'histoire des ces trois personnages et l'humour apporté à ce film m'ont vraiment touché. Comme évoqué juste au dessus, la scène où la petite fille découvre cette gueule cassée, fait partie de mes scènes préférées.

Je recommande ce film à tous les publics.

Jérémy, LP Montel, Colomiers

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Ce film raconte les parcours entremêlés d'Edouard Péricourt, Albert Maillard, Henri Pradelle, Marcel et Madeleine Péricourt.

Au début du film, nous voyons l'horreur de la première guerre mondiale et de ses vices, ou comment une personne gradée peut convenir du sort de ses hommes.

Nous sommes dans un de ces « no man's land », au paysage lunaire, avec ces hommes courageux, apeurés mais bravant la mort à chaque pas vers l'ennemi.

A la fin de la guerre, Edouard et Albert vont se lier d'amitié suite à leurs blessures, le deuxième s'occupant avec beaucoup d'empathie du premier, véritable « gueule cassée » de cette guerre, à priori sans famille et fragilisé psychologiquement.

Cette amitié va conduire les deux hommes par hasard vers Marcel Péricourt, le père d'Edouard, qui avait répudié son fils, et Henri Pradelle, leur ancien supérieur militaire, haï par les soldats pour son goût pour la guerre.

Le jeune Edouard est un artiste et décide de « réparer » son visage avec des masques par lesquels il fait passer ses émotions, ses sentiments, ses humeurs mais aussi la part de souffrance qui est en lui, enfouie depuis l'enfance, sa vie brisée par un père despote.

Quant à Henri Pradelle, l'ancien gradé, nous voyons tout au long du film qu'il profite d'une guerre dont il ne mesure pas la gravité. Cet homme bâtit un commerce sur les morts de la guerre, il leur fabrique des cercueils et exploite la tristesse des familles. Cette guerre qu'il aime tant lui fournit des « clients » à profusion. Pourquoi voudrait-il qu'elle cesse ? On voit ainsi Henri corrompu par l'argent, appliquer un pouvoir arbitraire, inspirer la crainte et vivre fièrement de cette fortune faite.

Parallèlement, les deux jeunes hommes, Edouard et Albert, ont une idée : ils vont vendre des « monuments au morts », monuments dont des villes ont besoin pour rendre hommage aux compagnons de bataille. Ils en proposent de superbes croquis réalisés par Edouard et empochent le montant de la réalisation sans jamais avoir eu l'intention de les fabriquer. Ils sont aidés dans ce projet par une petite fille dont personne ne semble s'occuper. On peut se demander si elle ne représente pas la part d'innocence qu'ils ont perdue dans la guerre et si elle n'est pas le moyen pour eux de voir la vie comme elle la voit.

Le trio voit ce « commerce » devenir florissant. Ils s'enrichissent rapidement mais ce projet les mène inévitablement vers le père d’Édouard qui a proposé un concours de réalisation de monuments aux morts. Comme si le destin du père et du fils était lié..

Tous les personnages participent sans le savoir à la rencontre entre le père et ce fils qu'il pensait mort. C'est par le regard que les deux personnages se reconnaissent et ce sont des sentiments d'amour qui pour la première fois passent entre eux. Mais il est trop tard.

Stivell, LP Montel, Colomiers

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Edouard est un jeune homme blessé par un obus pendant la première Guerre mondiale. Il a été blessé en sauvant Albert Maillard. Il a perdu sa mâchoire. Soigné à l'hôpital, il se fait passer pour mort avec l'aide de son nouvel ami Albert.

Après la guerre il est logé également par lui. Il a recommencé à dessiner et il lui vient une idée de génie (dessiner des monuments pour les morts dans le but de les vendre mais ceci était un plan pour partir avec de l'argent plein les poches).

Au fur et à mesure que l'histoire avance, il pose sur sa « gueule cassée » des masques qu'il crée, de plus en plus fous, parfois drôles, des fois expressifs.

Une histoire à la fois touchante, drôle, dramatique, qui fait prendre conscience que la guerre est ravageuse.

Ce film est un festival de sentiments ça passe de la tristesse à la joie, de la joie à l'humour etc... Ce film m'a beaucoup plu du début à la fin.

Diego, Lycée Montel Colomiers

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Le film se passe après la première guerre mondiale en 1920. C'est l'histoire d'un jeune homme qui s'appelle Edouard Péricourt. Il a reçu un obus dans la mâchoire en voulant sauver Albert Maillard.

J'ai bien aimé ce film parce qu'il était quelque fois marrant comme la scène où Edouard jouait avec les différents masques qu'il avait fabriqués. La toute première scène, je me croyais sur le champ de bataille avec les Français. C'était une scène très réaliste avec beaucoup de morts. Avant d'aller voir le film, je n'imaginais pas que la guerre était aussi violente. J'ai trouvé l'histoire d'Edouard très touchante avec les masques qui exprimaient sa joie ou sa tristesse.

Clément, Lycée Montel, Colomiers

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C'est un homme, Edouard, qui part à la guerre et revient sans mâchoire. A l'aide de son ami Albert, il se fait passer pour mort. Il commence à faire des masques pour cacher sa blessure. Edouard Péricourt fait des dessins dans le but d'arnaquer les mairies. Dans un de ces dessins son père reconnait la signature de son fils.

J'aime bien le début de ce film car il reconstitue le champ de bataille. Je suis impressionné par le savoir-faire de ce réalisateur. La fin de ce film me déplait car Edouard Péricourt se suicide. Je trouve ce film confus car il y a trop de choses en même temps. Je conseille de voir ce film même si c'est confus.

Jorge, Lycée Montel, Colomiers

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Ce film se passe pendant la première guerre mondiale. Le personnage principal, Edouard Péricourt, s'est fait arracher violemment la mâchoire par un obus. Il ne peut plus manger seul. Ensuite, son ami Albert l'aide à changer d'identité car il ne veut pas revenir dans sa famille. Il fabrique des masques pour cacher son visage et ils font fortune grâce à des sculptures. A la fin du film, quand son père le reconnait, il se suicide en sautant par le balcon.

Les scène de guerre étaient très réalistes. J'ai bien aimé le design des masques qui exprimaient les sentiments d'Edouard.

Ce que je n'ai pas aimé c'est que l'acteur principal se suicide à la fin du film.

Dorian, Lycée Montel, Colomiers


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C'est une histoire qui se passe pendant la première guerre mondiale. Il y a comme personnages principaux le soldat Albert Maillard et le blessé de guerre Édouard Péricourt qui a eu la gueule cassée suite aux affrontements. Après-guerre Albert s'occupe d'Édouard qui souffre énormément et qui essaye de combattre sa souffrance avec la drogue et son talent pour l'art.

Ce film m'a déplu car il y avait des scènes écœurantes, comme celle qui se passe dans l'hôpital. Je n'ai pas accroché à l'histoire. J'ai trouvé les masques trop extravagants. J'ai apprécié le personnage du lieutenant car je l'ai trouvé drôle et très antipathique. Je ne conseillerai pas ce film à un ami.

Ibrahim, Lycée Montel, Colomiers

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C'est la guerre. Edouard se fait passer pour mort car il n'a plus de bouche à cause du combat. Le soldat Maillard l'aide. Edouard a une idée pour gagner de l'argent. Maillard n'est pas d'accord au début mais finit par accepter. Edouard, excellent dessinateur, monte une arnaque aux monuments aux morts. Il dessine des monuments qu'il vend aux mairies et récupère de l'argent.

J'ai bien aimé ce film car je trouve que les effets sonores sont réalistes, en particulier les scènes où les soldats se font bombarder. J'ai trouvé quelques scènes choquantes quand on a vu la gueule cassée d'Edouard. Le moment que j'ai moins aimé c'est quand Edouard crée son masque en forme d'arbre car je ne l'ai pas trouvé très beau. Un masque que j'ai bien apprécié, c'est celui de l'oiseau bleu car il avait de belles couleurs et il était bien réalisé.

Akim, Lycée Montel, Colomiers

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Le film raconte la fin de la première guerre mondiale, l'après guerre. Les personnages sont Albert Maillard, Edouard Pericourt. Deux soldats qui se sont sauvés l'un l'autre. Après avoir été gravement blessé, Edouard ne souhaitant pas rentrer chez lui demande à Maillard de le déclarer mort. Comme Édouard était un artiste, il propose à Maillard de l'aider à vendre des monuments aux morts.

J'ai été impressionné par la scène des combats qui me fait penser aux souffrances que les soldats de l'époque ont vécues. J'ai adoré les dessins et les masques d'Edouard Pericourt parce qu'ils étaient très colorés et diversifiés. J'ai détesté le personnage de Pradelle qui au lieu de rendre hommage aux soldats morts les déshonore en marchant sur leurs tombes. J'ai aimé la manière dont les gens s'habillaient dans le film.

Ousmane, Lycée Montel, Colomiers

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Sortez le suspens des tranchées !

Le film Au revoir là-haut de 2017 retrace la vie de plusieurs personnages ayant été confrontés à la Première Guerre mondiale. Il souligne la difficile reconstruction des soldats après la guerre. Les personnages sont au cœur de l'horreur et, après avoir survécu, décident de monter une arnaque aux monuments aux morts pour se venger de cet événement meurtrier.

Une bonne tranche d'histoire dans le film !

Au revoir là-haut fait le lien avec les lieux de mémoire dès les premières minutes du film. On se plonge dans les bombardements, dans les tranchées où l'on voit les conditions de vie des soldats. Ceux-ci vivent les uns sur les autres, constamment confrontés aux dangers. L'environnement est pesant, on ressent l'enfer des tranchées.

On veut également se souvenir des victimes de la Grande Guerre, les « gueules cassées » qui ont vu leur avenir détruit en étant devenues infirmes.

Outre ces horreurs, Au revoir là-haut permet aux spectateurs de voir la solidarité naissante entre les soldats. On se souvient alors des frères d'armes.

Ce bombardement d'éléments historiques est complété par trois personnages qui ont des choses à nous apprendre !

Albert Dupontel, méconnaissable dans le rôle d'Albert Maillard est un homme qui, après la guerre, aide son compagnon à se reconstruire. Il est loyal et s'attache vite aux gens.

Édouard Péricourt est un fils de bonne famille qui a sauvé la vie de son compagnon Maillard durant un assaut. Il est défiguré et se cache derrière des masques fantastiques.

Enfin, Henri d'Aulnay Pradelle, lieutenant de guerre, est un manipulateur. Il est mon personnage préféré car c'est, selon moi, quelqu'un d'énigmatique.

Albert Dupontel sait mêler le comique et le tragique, ce qui fait qu'Au revoir là-haut n'est pas larmoyant.

Néanmoins, le film est lent et manque d'un réel enjeu qui aurait pu provoquer davantage de suspens. Certes, la fin est inattendue mais, contrairement aux obus, celle-ci a peu d'impact...

Anthony, Lycée Montel, Colomiers


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Le film Au revoir là-haut de 2017 retrace la vie de plusieurs personnages ayant été confrontés à la Première Guerre mondiale. Ils décident, pour se venger, de monter une arnaque aux monuments aux morts. Albert Dupontel, réalisateur du film, a su adapter le roman de Pierre Lemaître.

Au revoir là-haut nous permet de connaître précisément chaque personnage de l'histoire. Albert Dupontel, dans la peau d'Albert Maillard est méconnaissable dans son jeu d'acteur qui semble être plus sérieux qu'à l'ordinaire. Édouard Péricourt, quant à lui, illustre parfaitement la victime de guerre tout en incarnant un personnage quelque peu fantastique. Pradelle, officier va-t-en-guerre, reste un personnage qui profite des situations.

À travers le film, on comprend que l'on veut se souvenir de la Grande Guerre et de leurs victimes, les « gueules cassées ». Les lieux de mémoire sont parfaitement soulignés dans ce film. On rend hommage aux soldats morts au combat. On n'oublie pas leurs conditions de vie dans les tranchées. Albert Dupontel sait mêler le comique avec le tragique.

J'ai apprécié ce film dont la fin est à la fois prévisible et inattendue.

Benjamin, Lycée Montel, Colomiers

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En se basant sur des faits historiques, Albert Dupontel signe un film qui vaut le coup d'œil. Le fait de raconter son vécu, ses années dans les tranchées de la Première Guerre mondiale, rend le film intéressant. De plus, celui-ci est teinté d'une intrigue qui renforce cet intérêt : la question de l'arnaque aux monuments aux morts.

Ce qui m'a plu, c'est cette question d'aide entre les soldats, pendant et après la guerre. On se rend compte que, même si les personnages souhaitent retrouver une vie normale, ils n'y arrivent pas. Le film souligne la rupture entre le passé et l'avenir des personnes.

Pour se souvenir de chaque personnage et du scénario, cela veut dire que le film marque les spectateurs.

Gabriel, Lycée Montel, Colomiers

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Au revoir là-haut, un bon film mais un scénario prévisible

Le film, réalisé par Albert Dupontel, nous raconte l'histoire de deux victimes de la Première Guerre mondiale. Ces deux personnes sont meurtries par l'horreur des tranchées et décident, pour se venger, d'arnaquer certaines personnes en proposant des monuments aux morts.

Au revoir là-haut permet de faire connaissance avec Albert Maillard, une personne qui aide son ami à surmonter sa blessure de guerre. Il n'a pas de famille et fait tout pour son ami même si cela s'avère compliqué pour lui. Son ami, Édouard Péricourt, un personnage brisé par sa blessure. Il simule sa mort par crainte du rejet et se dissimule derrière des masques. Enfin, Pradelle, un personnage indigne et violent y compris envers ses camarades de guerre.

J'ai aimé le personnage joué par Albert Dupontel car, une part de l'acteur est ressortie : son humour. Il détient le secret d'une expression mystérieuse tout au long du film. Sa façon de retracer l'histoire est à la fois réelle et fantastique ; ce qui nous maintient en haleine. Ce réalisme se retrouve dans les tranchées, les bombardements, les victimes de guerre et la vie des soldats après la guerre. Si le conflit cesse le 11 novembre 1918, les traces de son passage restent sur les hommes. Édouard Péricourt et sa vie en sont un parfait exemple.

En revanche, la longueur de certains dialogues peut déplaire. Elle freine l'action dans le film.

Si l'humour est caractéristique, Dupontel n'en oublie pas moins le but principal : faire en sorte que les spectateurs se souviennent du passé. Dommage que l'histoire soit si prévisible à plusieurs moments du film.

Mathis, Lycée Montel, Colomiers

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De l'action, du suspens, on est servi !

Quand on me parle du film Au revoir là-haut, de et avec Albert Dupontel, le premier mot qui me vient à l'esprit est « adoration ». L'action est présente, on trouve des personnages émouvants, surprenants, bouleversants. Il n'y a rien que je n'ai pas aimé dans ce film.

Si la fin est imprévisible, on comprend tout au long du film que le choc de la guerre mondiale est présent chez les hommes. Albert Dupontel fait donc un hommage aux victimes, aux soldats morts pendant la guerre. Il est un personnage important car prend son rôle au sérieux. Le jeu de chaque personnage et chaque scène sont aussi imprévisibles que les bombardements de la guerre : on ne sait pas ce qui nous attend à la minute suivante.

Les personnages sont si attachants qu'on est capable, même après quelques semaines, de se souvenir dans le détail, de chacun d'entre eux.

Un film qui vaut le détour.

Jordy, Lycée Montel, Colomiers

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Entre Albert Maillard, Édouard Péricourt et Henri d'Aulnay Pradelle, on ne manque pas d'informations.

Maillard et Péricourt, soldats pendant la Première Guerre mondiale, se retrouvent à l'origine d'une arnaque aux monuments aux morts. Soudés depuis leur combat au front, ils le resteront jusqu'au bout. Ils affrontent ensemble la difficile vie qui est la leur après la guerre ainsi que leur lieutenant Pradelle, homme égoïste et sans pitié.

Ce que j'apprécie dans le film et surtout dans le personnage d'Albert Maillard, c'est cette narration. On a l'impression d'ouvrir une page d'un livre à chaque scène. De plus, c'est une réalité historique et les films sur la guerre attirent l'attention. En effet, on est plongé dans l'univers des tranchées : entre horreur et solidarité.

Cependant, j'ai trouvé le scénario trop « recherché ». Je me suis souvent demandé :

« pourquoi ce scénario? Pourquoi une telle histoire ? Pourquoi y intégrer du fantastique ? ». C'est le seul point négatif du film que je souligne et qui ne doit pas empêcher les gens d'aller le voir.

Hugo, Lycée Montel, Colomiers

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